Un air d’Afrique dans la région

On n’en finit plus de souligner la Journée mondiale de ci, la Semaine nationale de ça, le Mois de quelque chose ou l’année internationale de quelque chose d’autre. Il y en a tellement que certains de ces événements passent parfois inaperçus. Ç’aurait pu être le cas de la Journée internationale de la femme africaine (JIFA), promulguée officiellement par l’Organisation des Nations Unies en 1963. Mais chez nous, une femme a cru bon, il y a deux ans, de souligner de belle façon cet événement.

Originaire de la Côte d’Ivoire, Elvire Toffa est propriétaire de la boutique Casafriq, sur la rue des Forges. Elle a aussi collaboré à la mise sur pied du Regroupement des Amazones d’Afrique et du Monde (RAAM), un organisme sans but lucratif ayant comme objectif de rassembler les femmes issues de l’immigration afin de favoriser leur libre expression et leur épanouissement personnel, familial et professionnel. Le Regroupement met l’accent sur l’intégration socioprofessionnelle des femmes, en encourageant l’entrepreneuriat féminin.

Le lien entre le RAAM et la Journée internationale de la femme africaine devenait donc tout naturel et c’est depuis l’an passé qu’on souligne cet événement dans la région. La célébration de cette Journée revêt chaque année une couleur différente. Cette année, la thématique de l’intégration par l’entrepreneuriat a eu un bon écho auprès de jeunes femmes d’origines africaines et de plusieurs entreprises de la Mauricie.

Sept candidates ont ainsi été jumelées avec des entreprises dont les activités sont en cohérence avec leur formation, leur parcours et leurs intérêts. Chaque étudiante devenait donc, en quelque sorte, porte-parole – le temps d’une soirée – de l’entreprise avec laquelle elle avait été jumelée.À l’heure où on craint une pénurie de main-d’œuvre dans la région, le jumelage de ces jeunes femmes avec des entreprises constitue une belle façon de faire découvrir aux employeurs tout le potentiel des participantes.Réunies lors d’une soirée visant à couronner une ambassadrice, ces jeunes femmes ont su démontrer avec brio qu’il est possible de vivre une expérience d’intégration stimulante, tout en se surpassant sur le plan personnel et social. Pour préparer ce défi, les étudiantes ont eu l’aide d’Elvire Toffa pour l’aspect esthétique et culturel (tenue traditionnelle, etc.) et d’Amina Chaffaï, qui a agi comme consultante bénévole pour faciliter leur intégration socioéconomique par l’employabilité. À ce propos, les participantes ont eu droit à un accompagnement personnalisé avec des formations sur des sujets divers: comment établir les premiers contacts avec une entreprise, comment prendre la parole en public, comment faire des recherches pour se préparer à une vente ou une entrevue, etc. Le but est de donner des outils aux jeunes femmes et de rapprocher les futures diplômées d’un milieu de travail potentiel selon leurs formations respectives. 

 

 

 

Un jury a eu pour mission de déterminer une «ambassadrice» à la suite de présentations permettant d’évaluer notamment le leadership, la créativité, la qualité de la langue française, la connaissance de la culture québécoise. Au terme des délibérations, Arielle Guiakam Kouam, étudiante en administration originaire du Cameroun et jumelée à une succursale de Familiprix, a été désignée Ambassadrice de la JIFA 2018. À ses côtés, on retrouvait Anne-Marie Zogbelemou de la Guinée, Jemima Kabimanya de la République démocratique du Congo, Elsa Madina Traoré de la Côte d’Ivoire, ainsi que Elsa Tchaiwou, Lucrèce Aboude, Carole-Lise Waguem et Mégane Djeukoua, toutes quatre du Cameroun.

Une telle initiative mérite d’être saluée pour ce qu’elle est: une occasion de mettre en valeur les nouveaux arrivants, de faciliter leur intégration socioprofessionnelle, de favoriser le réseautage et de créer une occasion de partage culturel.

Coup de chapeau aux participantes et aux organisatrices pour cet événement culturellement très riche!

(Extrait du Nouvelliste De Martin Francoeur Editorialiste)

Connaissez-vous la JIFA: la Journée Internationale de la Femme Africaine. Une initiative entrepreneuriale de Casafriq par Elvire B Toffa, des entrepreneures du Raam et du Raam. Une soirée bénéfice annuelle pour faire connaître les entrepreneures du Raam et par le fait même faire connaître la mission d'intégration du Raam. Vous voulez être partenaires contactez-nous!

31 Juillet: Bonne journée internationale de la femme africaine

Que la détresse des femmes africaines déchirent l'indifférence en région!

 

« Sous n’importe quel ciel, et dans tous les pays, les femmes qui appellent

ont toutes le même cri, celui de la tendresse pour guérir la souffrance de tous ceux que l’on blesse et qui ont comme perdu d’avance…que les femmes, les femmes africaines en détresse déchirent l’indifférence »

 

De la détresse en Afrique? oui! Et aussi au Québec? Oui également! Et le pire c’est qu’au Québec, la femme africaine est en situation d’immigration donc exposée à un processus d’intégration dans une nouvelle société avec son lot de dépaysements, de frustrations, d’incompréhensions, de recommencements, bref avec son lot de montagnes russes d’émotions et de tranches de vie pouvant en elles seules faire un code des 101 erreurs à ne pas commettre comme immigrante.

 

La femme africaine au Québec, s’intégrer sans se désintégrer. 

 

Selon le petit dictionnaire Larousse « se désintégrer » a pour mots proches : se déshabiller, se déshonorer, se déshydrater. se désintéresser, se désister, se désoler. Et comme définition, se désintégrer est un verbe pronominal qui signifie, se désagréger, disparaître complètement.

 

Lorsque nous immigrons notre objectif d’intégration humain, social et professionnel en terre hôte est un cheminement de longue haleine. On le sait et c’est une des raisons qui fait que ce processus est définitivement on peut dire, réservé à des personnes fortes et désireuses d’atteindre leurs objectifs de quête d’un mieux-être, d’un mieux-vivre, réaliser des actions qui n’auraient peut-être pas été possible chez soi pour toutes sortes de raisons. En somme, se réaliser et exister et non le contraire.

Cependant ce processus pour la femme africaine peut se voir ralentir, enlaidir voir stopper par plusieurs situations souvent hors de notre contrôle.

 

En Afrique comme au Québec et sous d’autres cieux, des idées rétrogrades quant à la place et au rôle de la femme dans la société subsistent; par exemple le sujet de la liberté et l'égalité des femmes avec les hommes restent un combat à mener sans cesse. Il s'agit d'œuvrer sur les esprits pour faire évoluer les mentalités de nos sociétés, qu'elles soient américaines, européennes, africaines, québécoises ou trifluviennes. les statistiques du ministère de la condition féminine depuis 2010 sont alarmantes et ils ne sont pas si près de changer si nous ne faisons rien.

 

Un Constat :

"Selon le ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles (2010), 11,4 % des Québécoises sont issues de l’immigration, soit plus d’une Québécoise sur dix.

Plus de la moitié d'entre elles, soit 55,2 %, sont arrivées depuis plus de quinze ans. Les femmes immigrées représentent en outre 51 % de l'ensemble de la population immigrante (MICC, 2010). 

 

Une problématique :

En 2006, les femmes immigrées de quinze ans et plus sont plus scolarisées que l’ensemble des femmes de la population du Québec. Il y a ainsi une différence de huit points de pourcentage entre le taux de femmes immigrées titulaires d’un diplôme universitaire (24,4 %) et celui des femmes de la population totale (16,4 %).

Cependant, la même année, les femmes immigrées sont moins occupées (47,8 %) que les femmes de la population totale (55,7 %). Elles sont également moins occupées que les hommes immigrés (62,2 %) et les hommes de la population totale (65,4 %).

Elles disposent en conséquence de plus faibles revenus d’emplois. Un écart de 2 697 $ est constaté entre le revenu moyen d’emploi des femmes du Québec travaillant à temps plein en 2005 (37 602 $) et celui des femmes immigrées (34 905 $) (MICC, 2010).

Ce revenu moyen d’emploi des femmes immigrées est également inférieur de 12 080 $ à celui des hommes immigrés (46 985 $) (MICC, 2010).

 

Les femmes immigrées font donc partie des groupes spécifiques de femmes à risque de vivre dans une situation de précarité économique ou de pauvreté. Elles font également parfois face à des difficultés d’apprentissage de la langue française, à l’isolement, etc."

 

La détresse des femmes africaines en région :

Pour Les femmes africaines en région, intégration rime avec désintégration et je pèse mes mots. C’est un triste constat que nous faisons au quotidien dans toutes les sphères de la société. Il y’a un potentiel inouï d’expertises au sein de cette population féminine. Ce sont des femmes qui veulent aussi affirmer leur liberté, leur féminité, leur potentiel académique et professionnel. Pourquoi les enfermer dans un prototype sociétal d’infériorité ou de moins que?

Une femme africaine issue de l’immigration ou nouvelles arrivantes ça reste une femme, une mère, une épouse, une travailleuse, une femme tout simplement. Une femme qui souhaite simplement jouir des mêmes droits qu’une femme québécoise pure laine, que toutes les femmes, ou un homme quelqu’il soit à travers le monde.

 

Les  femmes africaines peuvent et veulent accoucher, donner vie à une  Afrique plus audacieuse, en forte croissance économique et libre de ses choix. Les femmes africaines du Québec et en région particulièrement peuvent et veulent contribuer au développement socio-économique, politique de la région. Arrêtons de les ignorer ou de les classer dans une catégorie de silencieuses, soumises et aliénées subissant les décisions d’autres.

La détresse de ces femmes est à plusieurs niveaux qu’on appellera des « Pourquoi » oui des questions que chacune a réellement été obligée de se poser en toute objectivité ici dans notre région.

 

Quelques « Pourquoi » au sujet de situations vécues…

Pourquoi ces questions catégorisantes, sexistes et raciales lorsqu’il est question de femmes africaines ? J’en ai tellement entendu de propos et questions aberrantes à la limite de l’insulte et de la violation des droits de femmes, que j’en ai le coeur scié.

Pourquoi cette indifférence, voir cette réticence lorsque nous soumettons « à qui de droit » des projets de développement économique pour l’essor de notre communauté féminine et par-là même toute la société? 

Pourquoi tuez nos initiatives à l’état embryonnaire sans leur donner la chance d’éclore?

Pourquoi ai-je l’impression de faire trois fois mes devoirs et ce que l’autre d’ici fait une seule fois?

Pourquoi pensez-vous que les femmes africaines sont « juste des beautés physiques exotiques » pour satisfaire des chaleurs charnelles de chauds mâles et se taire, selon l’adage soit belle et tais-toi? 

Pourquoi un féminisme d’africaines dans le féminisme de nos groupes de femmes dites féministes; es-tu féministe lorsque la cause concerne uniquement les femmes pure laine d’ici ou défends-tu la cause des femmes africaines et de toutes les femmes ici dans notre région? 

Pourquoi nous épousez dans des situations de couples avec le refus d’accepter nos différences au point de nous traiter comme inférieures, voir violer nos droits?

Pourquoi pensez qu’une femme africaine a pour synonyme nominal le ménage, la soumission, l’acceptation silencieuse de traitements contrôlants à la limite de l’inhumain, des professions moindres…?

Pourquoi mon diplôme universitaire ou ma formation professionnelle n’aurait pas le même rayonnement sur un CV à cause de mes origines africaines ?

Pourquoi lorsque je me présente pour un don de sang, la contradiction dans ton refus masqué d’accueillir mon sang peut-être contaminé du VIH transmis par ma couleur de peau et mes origines africaines , peut-être?

Pourquoi la police, l’agent de la paix laisses-t-il son jugement se buter à mon apparence de femmes africaines ?

Pourquoi le juge, figure respectable de la justice québécoise trouve-t-il le besoin de me demander si je parle le Français? Quand Monsieur le juge sait que le Québec est la seule province supposée être 100% francophone du Canada, que suis-je sensée faire par ici si je ne parle par la langue? Allez le demander au ministre de l’immigration et au gouvernement en place si je parle le Français!

Pourquoi le système me traite avec des exceptions favorables dites raisonnables ou défavorables dites déraisonnables reliées à mes origines. Bref, Pourquoi… et Pourquoi? 

 

Une solution:

Le RAAM: Le regroupement des Amazones d’Afrique et du Monde.

Lorsqu’on lit le nom de ce regroupement prime abord, on pourrait voir un groupe d’Africaines désireuses de se rassembler pour mener des actions pour uniquement le bien de leur communauté. Cette vision n’est qu’un point minime voir biaisé de ce qu’est le Raam dans le fond.

Pour cerner l’ensemble de ce qu’est ce regroupement, il faut aller au delà d’une simple observation d’un groupe de mots. Il faut prendre le nom dans sa sémantique et le regarder comme d’un patrimoine, celui de Femmes qui ont marqué l’histoire de certains peuples particulièrement dans le continent du latin « Aprica » dit « Ensoleillé ».

« Amazone d’Afrique » se veut une image, mieux encore une vision, celle de femmes solidaires, tissées serrées au coude-à-coude pour mener à bien des projets collectifs de développement et aussi personnel mais avec toujours le soutien du groupe car :

une Amazone a compris que seule, elle est peut être forte mais elle l’est encore plus avec l’aide des autres femmes et aussi des hommes.

Une Amazone a compris que dans notre monde multiculturel et diversifié ça prend l’unité, la cohésion pacifique et le dialogue interculturel pour découvrir l’autre et travailler avec elle.

Une Amazone a compris par conséquent que la couleur de peau, les origines, la langue ne sont plus un frein à former le même village, seulement les valeurs de solidarité, de partage et de cohésion dirigent nos élans.

Une Amazone d’Afrique et du Monde est maintenant toi, moi, elle et toute Femme qui croit encore en ces valeurs peut-être primitive mais qui ont toujours conduit nos peuples d’un continent à l’autre. Toute Femme du Québec, Toute femme immigrante, toute femme d’ici qui a compris que ce qui affaiblit notre monde est la peur de l’autre dans sa différence. 

Ce qui nous rend fortes c’est NOS différences!

Si ce message fait écho dans ton coeur, dans tes valeurs profondes alors tu es une Amazone, femme fière, femme forte, femme fabuleuse!

 

Je veux être simplement une FEMME

Vous savez quoi, je veux simplement être une FEMME.

Je suis fatiguée, je suis en détresse, j’ai peur pour mes enfants, j’ai peur pour l’Afrique, j’ai peur pour la femme africaine que je suis ici au Québec, ici en région, ici à Trois-Rivières.

J’ai peur quand devant mes enfants de 3 et 5 ans, deux agents dits de la paix m’arrêtent sans me dire pourquoi et sans considérer la présence de mes petits; auraient-ils été plus sensibles ou simplement professionnels si mes petits ressemblaient aux leurs. Mais non ils ne peuvent pas comprendre cela puisqu’à ma question avez-vous des enfants, l’agent le moins vulgaire m’a répondue « Non ».

 

Comme dit la citation: « Ne regarde pas derrière toi en te demandant Pourquoi, regarde en avant et dis-toi: pourquoi pas; le voilà notre leitmotiv, femmes africaines! Je prie pour chaque femme africaine ici en région; afin que notre voix comme un seul choeur s’élève afin d'œuvrer sur les esprits pour faire évoluer les mentalités de notre société québécoise et trifluvienne en particulier. 

 

Que les femmes, les femmes africaines en détresse déchirent l’indifférence! 

 

Il faut en parler, je viens de l’Afrique, là où le soleil brille! Là où, les femmes parlent avec le coeur! Le vent de mon continent a fait de ma vie un océan de couleurs, Cultiver la différence, s’éloigner de l’intolérance.

 

 Je veux affronter mes peurs en pensant, à la douceur en chantant.

Le sable chaud qui réchauffe les cœurs, tout simplement pour parler de bonheur, ces mémoires qui redonnent le sourire, L’envie de vous chanter mes souvenirs.

 

Je suis une femme africaine, une citoyenne québécoise, une citoyenne canadienne, une citoyenne du monde et fière de l’être.

J’ai mon Afrique, mon Canada, mon Québec et ma région au fond du coeur.

Il faut en parler, vous dire d’où je viens et comment je vis ici à Trois-Rivières 

Qui je suis.

 

Aujourd’hui j’appelle, je chante, je danse le cri de mon coeur: Que les femmes, les femmes africaines en détresse déchirent l’indifférence!

 

 

Elvire Bénédicte Toffa

Présidente du Regroupement des Amazones d’Afrique et du Monde (RAAM)

www.casafriq.com

Source: Secrétariat de la condition féminine

http://www.scf.gouv.qc.ca/index.php?id=18

(*Source historique: wikipédia

*Chanson Lyrique: Shy’M « Femmes de couleur »

Bible « Femmes d’ici ou d’ailleurs »)

 

 

Quand la conseillère municipale du district du Sanctuaire se déplace jusqu'aux Amazones leur témoigner son soutien indéniable telle une Amazone. Ce fut encore le cas lors du 5 à 7 organisé par le Raam, le Regroupement des Amazones d'Afrique et du Monde, ce regroupement des femmes d'ici et d'ailleurs porteur d'une volonté et d'une démarche d'intégration socio-professionnelle avec une mention d'honneur à l'entrepreneuriat féminin. Les Amazones présentes ont vu leur nombre de membres augmenter avec l'adhésion remarquée de nouvelles membres motivées et empreintes déjà de cette noble mission altruiste et solidaire du Raam.
La mention d'honneur a été la belle visite de Mme Sabrina Roy conseillère municipale du district du Sanctuaire. Mme Sabrina Roy s'est dite toujours heureuse et fière de travailler pour le rayonnement de son district avec des actrices qui oeuvrent au niveau entrepreneurial et actrices du developpement économique de notre région. Nous le savons, la présidente du Raam Elvire Toffa Juteau est elle même résidente dudit secteur et présente dans le district avec son entreprise Casafriq située sur le boulevard Ste Madeleine où avait justement lieu ce 5 à 7. 
À noter aussi que le bureau exécutif du Raam a pignon sur Rue sur le même boulevard.
Les Amazones du Raam ont profité de ce 5 à 7 pour faire une assemblée extraordinaire pour renflouer les différentes commissions de travail au sein du Raam, et surtout faire l'annonce officielle du lancement du journal l'Amazone en format papier. Projet qui sera chapeauté par la responsable aux communications et vice présidente du Raam Yvanna Labouba, affaire à suivre!
Dans un prochain article, nous vous donnerons plus de détails sur les nouvelles venues au sein des commissions et du bureau exécutif du Raam.

 

 

 

Ce qui nous rend fortes c’est NOS différences!   Un peu plus haut, un peu plus loin, Ensemble!

L'entrepreneuriat au féminin est LA clé d'une intégration socio-professionnelle réussie et épanouie de la femme issue de l'immigration et des nouvelles arrivantes.

 

 Une Amazone d’Afrique et du Monde est maintenant toi, moi, elle et toute Femme qui croit encore en ces valeurs peut-être primitive mais qui ont toujours conduit nos peuples d’un continent à l’autre; des valeurs de solidarité, de respect, de partage et de leadership. Toute Femme du Québec, Toute femme issue de l'immigration et nouvelle arrivante qui a compris que ce qui affaiblit notre monde est la peur de l’autre dans sa différence.